Paul Morin
impro
Morceau de mon projet de diplôme de l'ENSCI - les Ateliers, sous la direction de Erwan Bouroullec, à propos des évolutions des imprimantes personnelles 2D.

Comment repenser l'imprimante aujourd'hui ? Comment devrions-nous la concevoir pour réduire son impact environnemental ?

Cette première proposition prend partie contre l'obsolescence programmée : impro est une imprimante verticale, robuste et réparable destinée aux professionnels qui travaillent avec les images. Bref, une machine qui dure longtemps pour des usages qui ne disparaîtront pas d'ici demain.

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Le châssis en tôle pliée est pensé pour être suffisamment robuste pour survivre dans un environnement aussi hostile qu'un atelier métal. Ce n'est plus vraiment un objet électronique mais plutôt une machine outil.
Au lieu d'être dissimulés, les consommables — papier et encres — sont en dehors de la machine ce qui permet de visualiser immédiatement leur consommation. De plus, l'alimentation en encre par réservoir (au lieu de cartouches) réduit la quantité de déchet tout en permettant l'usage d'encres aux couleurs non-standards.
La mécaniques internes de la machine est dessinée pour être facile à comprendre, à entretenir et réparer. Les éléments sont distingués par leur agencement et le rôle signalétique des couleurs. Des tutoriels en ligne reprennent le même la langage schématique pour expliquer les étapes de maintenance.